L'addiction aux réseaux sociaux

Quand on parle réseaux sociaux et addiction on pourrait se demander s’il en existe vraiment une ? 

Et bien c’est là une grande question de notre époque. Même si les spécialistes sont divisés, il y a des gens qui sont incapables de faire sans et lorsqu’on les prive des réseaux, ils peuvent par exemple faire une dépression. Aujourd’hui, les personnes veulent être au courant dans la seconde des diverses informations du monde entier ou bien tout simplement de leurs cercles d’amis. Même si à la base cette technologie est merveilleuse, elle n’en reste pas moins un danger pour certaines personnes. Heureusement, notre monde est composé de profils différents, ce qui fait que chacun réagira d’une certaine façon. Sachant qu’on sait désormais qu’une personne est en moyenne inscrite sur 3 réseaux sociaux c’est devenu véritablement un phénomène de mode à part entière. On sait également que le temps moyen passé sur les réseaux sociaux est de 2 heures par jour dans le monde et de 1h30 en France. Et oui, nous qui pensions ne passer seulement que quelques minutes, c’est au final une addiction. En effet chez certaines personnes, ce temps peut dépasser plusieurs heures. Pour une technologie qui a pour but de faciliter les liens sociaux, elle aura ici l’effet l’inverse. Ce sentiment de ne pas rester inactif est à la fois un bienfait inédit et un puissant poison. Le problème sur internet c’est que tout le monde se montre sous sa meilleure forme, c’est ça que beaucoup de gens ne réalisent pas. Bon nombre de personnes utilisent les réseaux sociaux pour montrer à tout le monde à quel point leur vie est géniale : photos de vacances, de sa nouvelle copine, de sa nouvelle voiture, de sa nouvelle coiffure. … Tout cela bien sûr à bonnes doses de selfies, le truc tendance du moment qui n’est pas si nouveau que ça. La critique que nous faisons des réseaux sociaux est, bien sûr, une critique de l’excès des réseaux sociaux. C’est un terrain de jeu et d’expérimentation exceptionnel. Mais l’addiction reste assez puissante. Les médias sociaux sont comparés à des drogues dures, parfois violentes, parce qu’ils se nourrissent du plus solide moteur de nos êtres : le besoin de reconnaissance. De plus en plus de jeunes s’inquiètent des progrès technologiques et de la façon dont leurs enfants vont l’aborder. Notre avis ? Evitez de passer beaucoup de temps sur les réseaux sociaux et profiter de la vraie vie !